Nos Etoiles contraires
Auteur : John Green
Édition : PKJ
3/5
384 p.
Hazel, 16 ans, est atteinte d’un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l’évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu'elle s'y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d'autres jeunes malades. C’est là qu’elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature. Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate. Et malgré les réticences d’Hazel, qui a peur de s’impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d’amour commence… les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie.
Ok ? Ok.
Je choisis souvent mes lectures selon les saisons ou mon ressentit actuel. Ainsi au printemps je lis plus de romance, en automne plus de fantasy. Pour faire court je pense fonctionné comme de nombreux lecteur (enfin je l’espère). Et c’est le cas de ce livre illustre le mieux la période ou je l’ai lu. Mais avant de parlé de cette période parlons d’abord du livre.
Nos étoiles contraires c’est un phénomène à lui seul. A sa sortit j’en entend beaucoup parlé. Une histoire sur deux ado cancéreux ? Bof très peu pour la moi de 2013 qui ressort d’un séjours en hôpital pour enfant ou les ado cancéreux était monnaie bien trop courante. Je venais enfin de sortir de ce que j’appelle mon mini enfer je voulais pas lire une extension de ce mini enfer. Alors je laisse ce livre dans les rayonnage des libraires ou de ma médiathèque et passe à autre chose.
Le temps passe, je grandis, Nos étoiles contraires connaît une adaptation cinématographique que je snob à nouveaux. Puis 2017 arrive, une année particulièrement difficile pour moi, qui me fait même réfléchir au sens de la vie. Et au final je fini par acheté Everything Everything et Nos Étoiles contraires, sans doute pour connaître les limites de la vie, ou retrouvé le bonheur même dans des situations douloureuses.
Après avoir dévoré Everything Everything en 1 jours, je me lance dans Nos Étoiles Contraires, mais j’ai un peu plus peur. Si j’ai lu Everything Everything sans trop avoir eu de retour dessus, ce n’es pas le cas de Nos Étoiles Contraires. Plébiscité limite à outrance, j’en entendais parlé 4 ans après sa sortit comme si il venait de sortir en livre (enfin en vrai il venait d’être édité en poche chez PKJ c’est d’ailleurs une des choses qui m’ont l’acheté comme ça sur une coup de tête).
Ce que je retiens de cette lectures c’est une ode romantique à la vie, qu’il faut profité de ce qu’elle nous offres et si possible ne pas dépenser son vœux d’enfant mourant pour aller à Disney World (même si je pense que j’aurai fait la même).
Hazel est une jeune fille qui ce sait condamnée, et vivre avec une épée de Damoclès au dessus de la tête c’est loin d’être facile. Beaucoup de gens aurait encore plus mal réagit qu’elle. Sa mère cherche à la poussé à reprendre une vie social mais c’est difficile d’être accepté lorsqu’on ce promène avec une bobonne d’oxygène. Alors comme toute personne normal elle ce renferme sur elle, chez elle.
Mais sa rencontre avec Augustus va changé sa nouvelle routine. Augustus le joyeux, blagueur, charmeur qui « fume » pour la métaphore. C’est une douce histoire d’amour qui ce forme autour d’eux. Mais on sait tous que cette histoire d’amour est plus mortelle que celle de Roméo et Juliette. La mort est l’ombre d’Hazel et de tout les autres patient de sa thérapie ou elle à rencontré Augustus. Alors tout au long des pages on essaie de ce rassuré, en ce disant que tout ira bien, qu’ils s’aiment qu’es qui compte le plus ? On ce laisse transporté par leur mini aventures qui les conduit même au Pays Bas.
J’ai beaucoup apprécier ma lectures de Nos Etoiles contraires. Et je pense que je l’aurai mieux apprécier si je n’avais pas eu tout ces retours. Quand on me vend un livre comme « une pépite » je pense que j’ai tendance à mettre la barre trop haute et je me retrouve souvent déçus. La plume de l’auteur ne m’aide pas non plus. En effet ne nombreuse fois je bûcher sur des passages n’en comprenant pas la logique. Pourtant j’en ai versé des larmes durant ma lecture. Mais hélas je m’attendais à plus de ce récit.